Couplage logique bien que peu pratiqué de partitions que le ‘politburo’ présenta comme une image de la victoire, l’expression d’une force
incoercible. Cette thèse, facile à justifier pour l’op.100 (1950), s’avère indéfendable avec l’op.111 (1945-7), symphonie “à deux têtes” qui
eut l’heur de déplaire à Staline attendant un hymne à sa gloire. Mravinsky les joua peu et n’a laissé que de rares mais géniales exécutions
de concert.
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PRD/DSD 350 121
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