Annie Fischer Austro-Hungarian piano evenings
Deuxième volet d’impérissables illustrations de la pureté de style de l’école pianistique austro-hongroise réussies par Annie Fischer. Elle propose ainsi une alternative aux souvenirs laissés par Clara Haskil par une lecture vivante, presque agressive, de ce monde inextinguible de fête, de ce giocoso miraculeux d’un Mozart émancipé écrivant pour lui tout en restant dans une approche naturellement opératique et qu’elle maintient miraculeusement dans le dernier Schubert.
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PRD 250 339
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